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Archive mensuelle de septembre 2018

Double Jeu ! de Coralie Amedjkane, samedi 29 et dimanche 30 septembre

La qualité musicale de la série organisée par les Amis de l’orgue de Saint-Barnard se confirme et se vérifie chaque semaine avec une constance qui mérite d’être soulignée une nouvelle fois. Vincent Genvrin, un des grands talents de la scène de l’orgue français actuelle, donnait la mesure de la sûreté de son jeu lors des deux concerts de cette originale formule. A Romans, d’immenses Bach rendus avec fermeté précédaient une sonate presque romantique d’un des fils du Cantor de Leipzig. Des œuvres en apparence plus légères de Mendelssohn et Lefébure-Wély complétaient le programme mais donnaient aussi à redécouvrir des auteurs connus sous des angles nouveaux, ce à quoi contribuaient la clarté du discours et la technique impeccable du musicien. A Saint-Antoine-l’Abbaye, le public adhérait d’un seul cœur à un programme exigeant où alternaient gravité et fantaisie. Musiques denses et fantasques qui mettaient tout particulièrement en valeur les sonorités superbes de l’instrument et, une nouvelle fois, apportaient la preuve du talent du musicien, discret et vite parti rejoindre ses obligations parisiennes mais qui venait d’imprimer sa marque sur un public unanimement enchanté.

Pour le dernier concert de cette série décidément appréciable, les deux associations ont invité une jeune musicienne déjà demandée par les grandes tribunes : Coralie Amedjkane. Musicienne passionnée depuis sa plus tendre enfance, vit son parcours musical commencer avec le Premier Prix ex-aequo du Concours International de piano de Brest. Elle a débuté l’orgue à l’âge de 12 ans et est entrée au Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris dans la classe de Marie-Louise Langlais puis au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de Michel Bouvard et d’Olivier Latry. Dans cet établissement, elle a abordé aussi les disciplines d’érudition (analyse, écriture…), l’improvisation, le chant grégorien et la basse continue. Lors de diverses master-classes, elle a pu bénéficier des conseils des plus éminents organistes tels que Michel Chapuis, Ton Koopman ou encore J. Verdin (pratique de l’harmonium).Elle a été organiste en résidence au Sapporo Concert Hall (Japon) où elle a pu donner des concerts en soliste et avec orchestre, des cours et masters classes. En 2016, elle s’est produite à la Maison de la Radio à Paris dans le cadre de l’inauguration du nouvel orgue Grenzig. Elle s’est fait entendre du haut de la plupart des grandes tribunes françaises, à l’étranger, et aux festivals de Radio-France & Montpellier, La Chaise-Dieu, Comminges, Les Celtiques de Guérande… Depuis 2015, elle fait partie de l’ensemble de musique baroque Athénaïs. Musicienne éclectique, Coralie Amedjkane aborde l’ensemble du répertoire d’orgue, de la musique Renaissance à celle du XXIème siècle. Une de ses principales préoccupations en tant qu’artiste est de proposer des programmes de récitals originaux qui aient du sens, afin que l’auditeur vive une véritable immersion esthétique et philosophique. Désireuse de montrer que l’orgue est un instrument bien vivant dans le monde de la culture et de la création, elle s’emploie avec passion à faire découvrir la musique contemporaine, telle celle de Vincent Paulet, Thierry Escaich, Jean-Charles Gandrille… Sa conviction profonde quant à l’importance de la médiation chez l’artiste la pousse à proposer des concerts didactiques. Coralie Amedjkane est titulaire de l’orgue Abbey – Londe de l’église St-Nicolas – St-Marc de Ville d’Avray (92). Elle enseigne actuellement l’orgue au Conservatoire de Beauvais. Depuis 2016, elle est membre de la Commission Nationale du Patrimoine et de l’Architecture (section orgues et instruments de musique).

Le public de Romans pourra constater les qualités reconnues de la musicienne lors de son concert le samedi 29 septembre à 17h00 dans un programme de haute tenue qui s’ouvrira par les immenses « Variations canoniques » de Johann Sebastian Bach, œuvre de haute spéculation intellectuelle, chef d’œuvre de contrepoint, rarement données en concert. De Mozart on entendra un « Andante » originellement écrit pour une horloge dotée de flûtes. Les « Quatre esquisses » de Robert Schumann furent écrites pour le piano-pédalier, instrument oublié. Les organistes se sont approprié ces œuvres qui font admirablement sonner l’orgue. Enfin, deux « Pièces de fantaisie » de Louis Vierne concluront le concert : « Clair de lune », admirable méditation crépusculaire, et « Hymne au soleil », triomphante évocation de l’astre lumineux due à un musicien aveugle. Ce programme, intitulé « Couleurs de l’orgue », précèdera un autre concert, donné à Saint-Antoine-l’Abbaye le dimanche 30 septembre à 17h00. Intitulé « Echos du passé, sonorités d’aujourd’hui », le programme mêlera des œuvres de Giovanni de Macque (vers 1550 / 1614), Girolamo Frescobaldi et Nicolas de Grigny à celles de compositeurs de notre époque : György Ligeti et Vincent Paulet. La musicienne rappelle que « l’orgue de Saint-Antoine se prête magnifiquement au jeu des allers-retours entre ces deux époques, baroque et contemporaine » et s’interroge avec à-propos : « qui, de Frescobaldi, de Macque ou Ligeti est le plus moderne ? ».

Deux concerts du plus haut intérêt, à ne pas manquer (entrée libre, participation aux frais).Coralie Amedjkane

Double Jeu ! de Vincent Genvrin, samedi 22 et dimanche 23 septembre

Les Journées du patrimoine ont attiré un public nombreux dans la collégiale. En ce jour particulier, où l’affluence de publics divers est à prendre en compte, les Amis de l’orgue avaient eu la riche idée de programmer un concert tout en étonnements. Des musiques de notre époque côtoyaient des œuvres légères du Second empire, signe d’une diversité de caractères toujours à souligner. François Clément, aux claviers, venu de Clermont-Ferrand, rendait d’ailleurs hommage à deux musiciens qui l’ont précédé au titulariat de l’orgue de la cathédrale, Lemaigre et Claussmann, en jouant avec style et précision plusieurs de leurs œuvres. Il poursuit d’ailleurs cette pratique d’interprète compositeur en proposant plusieurs de ses propres œuvres, signe toujours encourageant d’une vitalité de l’orgue, instrument qui inspire encore à notre époque les créateurs. C’est d’ailleurs une habitude de l’association d’inscrire au programme de ses concerts de compositeurs vivants. La musique de François Clément, tour à tour délicate et très dynamique, n’a pas manqué de plaire.

C’est Vincent Genvrin qui assurera le troisième Double Jeu ! de la série, en jouant à Romans le samedi 22 septembre à 17h00 et le dimanche 23 septembre à Saint-Antoine-l’Abbaye à 17h00, selon la formule désormais bien rodée établie entre les deux associations. Né en 1965, Vincent Genvrin a étudié l’orgue avec Jean Boyer au Conservatoire de Lille, Odile Bailleux puis Xavier Darasse au Conservatoire national supérieur de Lyon où il a obtenu son diplôme en 1986. Il s’est perfectionné ensuite en Belgique avec Bernard Foccroulle et Jean Ferrard. En 1988, il a remporté le Premier prix du concours Alexandre Guilmant à Boulogne-sur-mer et en 1994, le Prix international du disque de la Société Liszt de Budapest pour son interprétation de la « Via Crucis » avec le chœur Sacrum de Riga (Lettonie). Il est titulaire, à Paris, de l’orgue historique François Henri Clicquot de Saint-Nicolas des Champs et de l’orgue Schwenkedel de Saint-Thomas-d’Aquin. Titulaire du certificat d’aptitude, il est professeur d’orgue au Conservatoire de Dieppe. Il est coordinateur artistique de l’Académie d’orgue de Dieppe, créée en 2010 à la suite de l’Académie de Saint-Dié-des-Vosges (1968-2009).Vincent Genvrin s’est distingué par une dizaine d’enregistrements discographiques salués par la critique. Il est directeur artistique du label Hortus.

Ce musicien chevronné, très apprécié dans le milieu musical pour la qualité de son jeu et la finesse de son approche comprendra, à Romans, de grandes œuvres de Johann Sebastian Bach : « Prélude et Fugue en mi bémol majeur BWV 552 » et trois chorals extraits de la Clavier Übung (BWV 672-674). On appréciera l’esthétique plus galante d’un des fils du Cantor, Carl Philipp Emanuel, dans sa « Quatrième Sonate » avant de découvrir une adaptation à l’orgue des « Kinderstück n° 4 et 5 » de Felix Mendelssohn-Bartholdy. Du fantasque Alfred Lefébure-Wely, star de l’orgue du milieu du XIXe siècle, on entendra l’« Offertoire en ré mineur », la « Communion en fa majeur », les trois versets de l’« Hymne Adoro te » et la brillante « Sortie en mi bémol majeur ». A Saint-Antoine-l’Abbaye, le public pourra aussi s’attendre à quelques découvertes. D’Henry Du Mont, on entendra l’« Allemande grave », la « Pavane » et une autre « Allemande ». Extraits du « Manuscrit de Limoges », constitué autour de 1720-1730, on découvrira les « Quatre Versets sur Ave maris stella » et d’une rare compositrice de l’époque baroque, Élisabeth Jacquet de la Guerre, la « Sonata en sol mineur » transcrite par Vincent Genvrin. Le « Choral-Fantaisie Nun freut euch lieben Christen g’mein BuxWV 210 » de Dietrich Buxtehude précèdera les pièces du 4e ton extraites des deux « Livres d’orgue » de Jacques Boyvin.

Il convient de rappeler que ces concerts sont gratuits (participation aux frais). Les éminents musiciens reçus chaque semaine sont l’honneur des tribunes qui les accueillent : ils sont aussi, pour les mélomanes, une chance d’entendre des virtuoses reconnus et demandés.

Vincent Genvrin

Double Jeu ! de François Clément, samedi 15 et dimanche 16 septembre

Le monde musical de l’orgue est d’une étonnante richesse. Les talents reçus dans la série initiée par les Amis de l’orgue de Saint-Barnard et de Saint-Antoine-l’Abbaye, parce qu’elle permet d’entendre parmi les meilleurs éléments de l’école d’orgue française actuelle, notamment ses plus jeunes représentants, en témoigne. Les deux programmes demandés aux musiciens, dispensés le samedi et le dimanche sur les instruments sont l’occasion d’entendre des œuvres très diverses. Ainsi, à Romans, les deux mouvements finaux de la « Symphonie Passion », de Marcel Dupré, ont beaucoup impressionné le public, par leur vigueur mais aussi leur caractère quasi-cinématographique. Les « Naïades », de Louis Vierne, éblouissaient par leur virtuosité légère et sensible, qualités essentielles du jeu d’Olivier Salandini qui, à Saint-Antoine-l’Abbaye, recevait d’autres éloges pour son programme, là aussi donné avec sûreté, virtuosité et simplicité.

A l’occasion des Journées du Patrimoine, les deux instruments seront accessibles par le public, sous la conduite de leurs organistes titulaires, le dimanche à partir de 15h00 à Romans avec Jean-Michel Petit, le samedi et le dimanche à Saint-Antoine-l’Abbaye avec Jean-Paul Ravel.

Les deux concerts de ce prochain week-end seront donnés par François Clément, organiste de la cathédrale de Clermont-Ferrand et professeur de la classe d’orgue de cette même ville. Il a étudié l’orgue avec Louis Thiry, Gaston Litaize et André Isoir. En tant qu’interprète, son répertoire est vaste, allant du 16° au 20° siècle. Impliqué dans la musique de son temps, il joue les musiciens contemporains (Jean-Pierre Leguay, Claude Ballif, Thierry Pallesco) et a créé des œuvres de Jean-Pierre Pommier. Il accompagne couramment chorales et instruments solistes, et est membre de l’ensemble instrumental « Musique en famille ». Après une dizaine de CD, son dernier enregistrement, sur l’orgue de Fontgombault est consacré au temps de Noël (œuvres françaises et allemandes des 17 et 18° siècles). Il est aussi compositeur. Plusieurs de ses œuvres ont été créées à Clermont Ferrand.

A nouveau, les deux programmes proposés par le musicien seront très différents, afin de rendre compte des caractéristiques des deux instruments. Ainsi, à Romans, on entendra la « Rhapsodie » de Thierry Pallesco, compositeur né en 1956. Rendant hommage à l’un de ses prédécesseurs à la tribune clermontoise, François Clément jouera quatre pièces d’Edmond Lemaigre : « Prière », « Deux Préludes », « Capriccio » et  « Magnificat », extrait des « Six Versets ».  De Louis-James-Alfred Lefébure-Wély, on entendra l’étonnant « Boléro de concert op. 166 », une œuvre qui rappelle le goût musical de l’époque de Louis-Philippe. Quatre pièces d’Aloÿs Claussmann (“Poco allegretto”, “Lento”, “Ben moderato” et “Fantaisie héroïque » précèderont trois œuvres de l’interprète : « Prélude sur le fond d’orgue » et « Barcarolle », extraits de la « Suite pour orgue » et « Saint Bertrand : Gloire du Seigneur ». A Saint-Antoine-l’Abbaye, François Clément explorera les pages les plus anciennes du répertoire. De Guillaume Dufaÿ (1395-1474), on entendra l’ « Alma redemptoris mater ». De Roland de Lassus, on découvrira le « Ricercare Regina caeli laetare. Trois « Fantaisies d’Eustache Du Caurroy précèderont une œuvre du même type de Louis Couperin. L’Italie sera aussi à l’honneur avec le « Ricercare arioso II en Do majeur » et le « Ricercare arioso III en sol mineur » d’Andrea Gabrieli et la « Toccata settima » de Michelangelo Rossi. La « Suite du sixième ton » de François Dagincourt précèdera des pièces de clavecin de Jean-Philippe Rameau (« L’égyptienne », « Tambourin » et « Les sauvages »). Le parcours dans le temps s’achèvera au tournant avec le 19e siècle et des œuvre d’Alexandre Pierre François Boëly (« Andante » extrait du « Quatuor en Ré », « Trio à deux claviers séparés en sol mineur » et « Offertoire pour le jour de Pâques ») et de Guillaume Lasceux : « Simphonie concertante en Sol ». Deux concerts très originaux, deux aventures dans les temps immémoriaux de la musique comme dans notre époque, autre richesse du monde de l’orgue. Concerts gratuits (participation aux frais), donnés ce samedi 15 septembre à 17h00 à Romans et dimanche 16 septembre à 17h00 aussi.

François Clément

 

 

 

Double Jeu ! d’Olivier Salandini, samedi 8 et dimanche 9 septembre

Pour sa première prestation romanaise, Thomas Pellerin a offert au public nombreux un véritable « festival Bach » en commençant son programme par un florilège bien senti d’œuvres importantes du Cantor de Leipzig. La grande Fantaisie et fugue en sol mineur, menée avec brio, un intense choral très lyrique, un pétillant concerto d’après Vivaldi, d’un italianisme fin et très réussi, et la Pastorale, très délicatement rendue, constituaient une belle part d’un concert couronné par le brillant Choral varié de Duruflé, hommage à celui qui permit la renaissance de cet orgue à la fin des années 1970. En cette années anniversaire de l’association, et alors que le projet de relevage de l’orgue se profile, cette œuvre sonnait avec une belle adéquation avec les timbres de l’instrument de Saint-Barnard.

Les Double jeu ! des Amis de l’orgue de Saint-Barnard, qui s’associent pour l’occasion avec leurs camarades de Saint-Antoine-l’Abbaye, ont établi désormais leur réputation d’excellence. Les meilleurs organistes français se succèdent et leur jeunesse n’enlève rien à leur talent. Ce sera encore le cas ce prochain week-end avec Olivier Salandini, l’organiste de la cathédrale de Bourges. Olivier Salandini a étudié l’orgue et le clavecin au Conservatoire national de région de Nice avec René Saorgin, Jean-Luc Etienne et Mireille Podeur. Il a poursuivi par la suite ses études de clavecin avec Bob van Asperen au Conservatoire supérieur d’Amsterdam, et d’orgue avec Reizte Smits au Conservatoire d’Utrecht et a obtenu un Master en 2008. Il a obtenu au Conservatoire national supérieur de Paris le Master de pédagogie d’orgue et le Certificat d’aptitude de clavecin. En 2005, il remportait le deuxième prix au Concours international de clavecin de Bologne et, en 2006, il était successivement lauréat des Concours internationaux d’orgue de Lausanne, et de Herford (Allemagne). Olivier Salandini a enregistré deux disques avec l’ensemble Stravaganza et un disque d’orgue en 2014 sur les cinq orgues de l’église Saint Paul de Nice aux éditions Chanteloup. Il est professeur de clavecin et de basse continue au Conservatoire de Limoges et, depuis 2011, organiste titulaire des grandes orgues de la Cathédrale de Bourges et directeur artistique du festival « Les Riches heures de l’orgue en Berry ». Le programme du jeune musicien, à Romans, s’annonce comme un beau panorama du répertoire organistique, avec des œuvres dues à quelques unes des plus sûres figures tutélaires de l’instrument. De Georg Friedrich Haendel, on entendra l’adaptation pour orgue seul du Concerto pour orgue et orchestre en sol mineur opus 4 n°1. En quatre mouvements, cette œuvre est un festival de virtuosité. Les quatre mouvements font se succéder différents climats et donnent à mesurer le génie mélodique de Haendel. De Josef Rheinberger, peu joué à Romans mais immense compositeur romantique allemand, on découvrira le « Prélude » et la  « Passacaille », deux mouvements extraits de la « Huitième Sonate en mi mineur ». Musique opulente, riche, elle témoigne d’un art qui, en pleine période romantique, en appelle encore à l’écriture classique. Suivront les délicates « Naïades », de Louis Vierne, extraites des « Pièces de Fantaisie ». Superbe musique de concert, cette pièce légère et souple est une délicate évocation qui n’a pas à pâlir d’une comparaison avec les meilleures réussites de Fauré ou Debussy. Marcel Dupré, immense virtuose, fut un concertiste acclamé, jusqu’en Amérique. C’est là qu’il improvisa une symphonie qui devint sa « Symphonie Passion ». De cette dernière Olivier Salandini jouera les deux derniers mouvements : « Crucifixion », âpre et prenant mouvement, et « Résurrection », longue montée vers le triomphe éclatant d’un carillon brillant. Ce concert, samedi 8 septembre à 17h00 à Saint-Barnard, sera suivi d’un second concert donné le lendemain, dimanche 9 septembre à 17h00, à Saint-Antoine-l’Abbaye. Le même musicien . Le même musicien y jouera des œuvres de Nivers (« Suite du premier ton » du « Troisième livre » comprenant « Prélude », « Fugue », « Duo », « Basse », « Dialogue à deux chœurs »), Johann Kaspar Kerll (« Passacaglia en ré mineur »), Nicolas de Grigny ( « Hymne A solis ortus » : « Plein jeu », « Fugue à 5 », « Trio », « Point d’orgue sur les grands jeux »), Dietrich Buxtehude (« Praeludium und Ciacona en do majeur ») et Johann Sebastian Bach (« Troisième Sonate en trio en ré mineur » et « Fugue en sol majeur alla giga »). Deux moments à ne pas manquer (entrée libre, participation aux frais).Olivier Salandini

 




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