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Archive pour la Catégorie 'Intermezzi'

Ce concert précèdera de quelques jours l’assemblée générale de l’association, qui se tiendra à Romans le samedi 26 janvier à 10h30. L’occasion sera à alors aux bilans mais aussi aux projets. On sait d’ores et déjà que l’association porte, avec la municipalité, le projet d’une grande rénovation de l’instrument de la collégiale, étape importante de sa vie. Utilisé tous les jours par des amateurs, visité par les enfants des écoles, il est aussi largement sollicité pour de nombreux concerts et la liturgie. Il est régulièrement entretenu sous l’oeil avisé de Jean-Michel Petit. Le « relevage » de l’orgue, devenu indispensable, lui redonnera le lustre qu’il mérite. Il sera l’occasion d’en reparler !
La saison 2018, qui a marqué les cinquante ans de l’association des Amis de l’orgue, aura été d’une belle et constante qualité ! Le cycle anniversaire, intitulé d’une façon très orginale « L’Orgue et son double » a vraiment marqué les esprits du public nombreux qui a assisté aux trois concerts. Déboubler l’orgue, le multiplier, lui associer des instruments originaux, voilà des idées à même de donner une image renouvelée de l’instruments à tuyaux, de celui de la collégiale tout particulièrement, dont, véritablement, on peut dire qu’il est l’objet de soins attentifs et d’une constante attention pour qu’il brille de toutes ses attachantes qualités. Une fois encore, on entendra le bel instrument, construit par Chambry, résonner dans un concert de belle qualité donné par le chœur orthodoxe Convivia musica qui présentera un programme de chants sacrés russes et bulgares. Cet Intermezzo du titulaire, organisé pour célébrer Sainte Cécile, sera donné le dimanche 25 novembre, à 16h30 (entrée libre), avec la participation de Jean-Michel Petit, organiste titulaire et donc, maître d’oeuvre de ce concert.
Convivia musica est un ensemble vocal composé d’une trentaine de chanteurs et solistes. Il est spécialisé dans le répertoire liturgique orthodoxe russe et bulgare depuis dix ans. Il est l’émanation de l’association du même nom, créée il y a 20 ans, qui s’attache à la formation musicale. Des stages, d’ailleurs, élargissent le répertoire et l’audience en se consacrant à la mise au point de grandes oeuvres du répertoire classique. Le prochain, dédié au Magnificat de Johann Sebastian Bach, se déroulera lors du week-end de l’Ascension 2019. C’est Geneviève Judes qui est à l’origine de cette structure. Son activité débordante nécessitait un cadre plus construit : c’est pour cela que l’association et le choeur ont été organisés. Bien connue dans la région pour son importante activité et la générosité de son action, Geneviève Judes, professeur de chant, chef de chœur (elle a aussi dirigé le choeur Alléluia) et passionnée de chant sacré russe, assure la formation régulière des chanteurs. Le répertoire essentiel du choeur est consacré au chant orthodoxe russe. Celui-ci est l’héritier direct du chant liturgique byzantin. D’abord à l’unisson, il est devenu polyphonique et a mélangé ses origines orientales aux musiques occidentales. Ces œuvres sont chantées depuis le XIVe siècle en slavon. Au fil des siècles, des compositeurs tels Rachmaninov, Tchaïkowski ou Rimsky Korsakov, en ont écrit. La richesse et la splendeur de ces chants sont à rapprocher de l’art des icônes par la variété très russe des couleurs. La présence impressionnante du « bourdon », les nuances et les forts contrastes de volume et de rythmes, les enchaînement d’accords quasi célestes, confèrent à cette musique slave un caractère original qui ne déroute cependant jamais nos oreilles. En notre époque si prompte à l’agitation, ces chants apportent à tous les auditeurs un partage de beauté intense, de lumineuse sérénité et offrent aux croyants un moment de prière.
Le public pourra ainsi découvrir, outre trois œuvres d’orgue de Gounod, Bach et Buxtehude, des œuvres vocales a capella Dmitry Bortnianski, Mikhail Glinka, Pavel Vorotnikof, Anatoly Lomakin, Mikhail Strokine, Piotr Ilitch Tchaikovski, Alexander Akangelski, Anatoly Liadov et Dobri Christov. C’est bien à un voyage esthétique et spirituel que le public est convié à l’occasion de ce concert. La beauté des voix, la splendeur des oeuvres, l’élévation de l’ensemble, ne manqueront pas d’impressionner le public.
La saison 2018, qui a marqué les cinquante ans de l’association des Amis de l’orgue, aura été d’une belle et constante qualité ! Le cycle anniversaire, intitulé d’une façon très orginale « L’Orgue et son double » a vraiment marqué les esprits du public nombreux qui a assisté aux trois concerts. Déboubler l’orgue, le multiplier, lui associer des instruments originaux, voilà des idées à même de donner une image renouvelée de l’instruments à tuyaux, de celui de la collégiale tout particulièrement, dont, véritablement, on peut dire qu’il est l’objet de soins attentifs et d’une constante attention pour qu’il brille de toutes ses attachantes qualités. Une fois encore, on entendra le bel instrument, construit par Chambry, résonner dans un concert de belle qualité donné par le chœur orthodoxe Convivia musica qui présentera un programme de chants sacrés russes et bulgares. Cet Intermezzo du titulaire, organisé pour célébrer Sainte Cécile, sera donné le dimanche 25 novembre, à 16h30 (entrée libre), avec la participation de Jean-Michel Petit, organiste titulaire et donc, maître d’oeuvre de ce concert.
Convivia musica est un ensemble vocal composé d’une trentaine de chanteurs et solistes. Il est spécialisé dans le répertoire liturgique orthodoxe russe et bulgare depuis dix ans. Il est l’émanation de l’association du même nom, créée il y a 20 ans, qui s’attache à la formation musicale. Des stages, d’ailleurs, élargissent le répertoire et l’audience en se consacrant à la mise au point de grandes oeuvres du répertoire classique. Le prochain, dédié au Magnificat de Johann Sebastian Bach, se déroulera lors du week-end de l’Ascension 2019. C’est Geneviève Judes qui est à l’origine de cette structure. Son activité débordante nécessitait un cadre plus construit : c’est pour cela que l’association et le choeur ont été organisés. Bien connue dans la région pour son importante activité et la générosité de son action, Geneviève Judes, professeur de chant, chef de chœur (elle a aussi dirigé le choeur Alléluia) et passionnée de chant sacré russe, assure la formation régulière des chanteurs. Le répertoire essentiel du choeur est consacré au chant orthodoxe russe. Celui-ci est l’héritier direct du chant liturgique byzantin. D’abord à l’unisson, il est devenu polyphonique et a mélangé ses origines orientales aux musiques occidentales. Ces œuvres sont chantées depuis le XIVe siècle en slavon. Au fil des siècles, des compositeurs tels Rachmaninov, Tchaïkowski ou Rimsky Korsakov, en ont écrit. La richesse et la splendeur de ces chants sont à rapprocher de l’art des icônes par la variété très russe des couleurs. La présence impressionnante du « bourdon », les nuances et les forts contrastes de volume et de rythmes, les enchaînement d’accords quasi célestes, confèrent à cette musique slave un caractère original qui ne déroute cependant jamais nos oreilles. En notre époque si prompte à l’agitation, ces chants apportent à tous les auditeurs un partage de beauté intense, de lumineuse sérénité et offrent aux croyants un moment de prière.
Le public pourra ainsi découvrir, outre trois œuvres d’orgue de Gounod, Bach et Buxtehude jouées par Jean-Michel Petit, des œuvres vocales a capella Dmitry Bortnianski, Mikhail Glinka, Pavel Vorotnikof, Anatoly Lomakin, Mikhail Strokine, Piotr Ilitch Tchaikovski, Alexander Akangelski, Anatoly Liadov et Dobri Christov. C’est bien à un voyage esthétique et spirituel que le public est convié à l’occasion de ce concert. La beauté des voix, la splendeur des oeuvres, l’élévation de l’ensemble, ne manqueront pas d’impressionner le public.
Les Amis de l’orgue fêteront, en 2018, les 50 ans de leur création. C’est en effet en 1968 que quelques passionnés se sont regroupés pour sauver l’instrument de la collégiale alors bien abandonné. Pour marquer l’événement, outre les manifestations habituelles et déjà inscrites aux habitudes des mélomanes (mais que l’on ne peut que conseiller aux curieux) : les Double Jeu ! des virtuoses de septembre (chaque week-end, en collaboration avec Saint-Antoine-l’Abbaye), les Jeux d’orgue (le 2 juin et le 23 juin) et le Marathon d’orgue qui réunit dans une joyeuse ambiance amateurs et professionnels. Le clou de la saison est un cycle très original de trois concerts baptisé « L’Orgue et son double ». Derrière ce titre étonnant, suggérant qu’on puisse multiplier les orgues dans la collégiale, se cache un programme alléchant dont on reparlera sous peu !
Ainsi donc, la saison d’orgue se refermera sur le souvenir des grands concerts avec orchestre (le « Requiem » de Mozart du Choeur Adhémar, la « Symphonie avec orgue » de Saint-Saëns de l’orchestre du CRD Valence – Romans), ainsi que les superbes Doubles Jeu ! de septembre qui ont permis d’entendre à Romans la fine fleur des organistes français. On parle, pour 2018, de concert étonnants et novateurs ! Le programme de la saison sera révélé durant l’assemblée générale le samedi 27 janvier. Il y aura de nouvelles et nombreuses occasion de venir entendre l’orgue de la collégiale. L’activité qui l’entoure est l’une des plus riches du département et les bénévoles qui l’animent ne ménagent pas leur peine. Cet après-midi de Noël, passez donc dans la collégiale : quelques notes de musique bienvenues accompagneront votre visite à la crèche !
Les Amis de l’orgue de Saint-Barnard ont pris l’habitude, en plus d’une saison déjà riche de plus d’une dizaine de manifestations (ce qui la place parmi les plus actives du département, il faut le souligner), de célébrer divers moments de l’année par un petit concert informel. Ces Intermezzo du titulaire sont l’occasion de « faire de la musique », à l’instigation de Jean-Michel Petit, organiste titulaire de la collégiale. Après la Saint Barnard, en janvier, puis Pâques, c’est Sainte Cécile, patronne des musiciens, qui sera bien évidemment honorée ce dimanche 19 mars à 16h30, à quelques jours de la date calendaire de sa fête.
L’action de l’association a largement permis, depuis plusieurs années, de singulièrement élargir le public ainsi que la connaissance de l’instrument, de son histoire et de son répertoire spécifique, de ses particularités comme de sa richesse. C’est le bénéfice d’une direction artistique volontariste et volontiers novatrice. C’est aussi grâce à l’action de bénévoles amoureux de leur instrument. D’ailleurs, pour cet Intermezzo, ce ne sont ni plus ni moins le président et le trésorier-titulaire qui s’installeront aux claviers ! Organistes amateurs, enthousiastes dès qu’il s’agit de parler de leur orgue, férus de sa technique et de son histoire, ils n’ont donc pas hésité à vouloir mettre la main à la pâte.
Frédéric Brun, le président des Amis de l’orgue, est architecte. Il a découvert l’orgue grâce à la bienveillance d’Andrée Trapp, qui était alors l’organiste de la collégiale. Il a travaillé avec Emmanuel Hocdé, à Saint-Eloi à Paris, et Jean-Paul Imbert au stage de l’Alpe d’Huez. Proche du Maître Jean Guillou, il participe activement au rayonnement de l’oeuvre de ce grand musicien : auteur de plusieurs analyses de ses compositions, parues dans différentes revues, Frédéric Brun a aussi assuré la publication des poèmes du musicien (« Le Visiteur », Christophe Chomant Editeur). Jean-Michel Petit, a commencé le piano à l’âge de 7 ans et a travaillé à Grenoble avec Jeanine Collet. Après un Prix de supérieur 1 au Concours Lucien Wurmser, parallèlement à des études de sciences physiques, il est entré en classes d’orgue et de musique de chambre au Conservatoire de Grenoble avec pour professeur Mme Amiez-Falque. Tout récemment, il s’est perfectionné avec Frédéric Muñoz et Jean-Claude Saliques.
Les deux compères musiciens proposeront un programme très varié destiné à mettre en valeur les qualités de l’instrument de la collégiale, polyvalent et apte à faire sonner des œuvres de toutes les époques. Le programme est une surprise : on en découvrira la teneur lors de cet Intermezzo, dimanche 19 novembre à 16h30. Entrée libre, participation aux frais.
Pour les Amis de l’orgue de Saint-Barnard, il est important de donner quelques habitudes au public qui élaborent, sur le long terme, à la fois des réflexes et une image de marque. Concerts réguliers, à des dates régulières et qualité des musiciens reçus et des programmes proposés sont donc pour cette dynamique association (une des plus actives du département) une forme de règle à laquelle le public des mélomane se prête de bonne grâce. Ainsi, l’après-midi de Noël, plusieurs dizaines de personnes avaient laissé les riches tables et la douceur d’une après-midi pour venir écouter les airs de Noël interprétés ou sujets à improvisation que Jean-Michel Petit et Frédéric Brun avaient assemblés pour un moment musical tout en détente bienvenue. En ce début d’année, c’est par un nouveau rendez-vous régulier que la saison musicale s’ouvrira pour fêter le patron de la collégiale, Barnard. Ainsi, ce dimanche 22 janvier, à 16h30, Jean-Michel Petit invitera son collègue estimé Maxime Heintz, organiste assistant de la collégiale de Saint-Donat-sur-l’Herbasse. En 1998, Maxime Heintz a intégré le Conservatoire de Marseille, dans la classe d’André Rossi, duquel il est sorti avec un Premier prix. Longtemps organiste titulaire de la collégiale de Grignan, il s’est aussi consacré à la direction chorale tout en continuant à pratiquer son instrument de prédilection. Musicien accompli, d’une générosité soulignée, il s’est produit à de nombreuses reprises à Romans –dès son plus jeune âge. Fidèle de Bach et du répertoire romantique, il en donne une traduction toujours vivante et rigoureuse, fermement menée par une attention toujours constante au rythme et aux couleurs, agencées avec goût et simplicité, pour une bonne compréhension des œuvres. Le jeune musicien, très estimé dans la région, a proposé aux organisateurs une forme de « liste des courses » comportant des œuvres de Bach (le somptueux « Prélude et fugue en la mineur », trois versions du choral « Allein Gott… »), une « Sonate pour orgue » de Mendelssohn, deux « Etudes en forme de canon » de Schumann ainsi que les gigantesques « Trois danses » de Jehan Alain, œuvre ultime d’un musicien qui devait tomber au Champ d’honneur peu après la dernière note apposée sur le manuscrit. C’est au dernier moment que le musicien et les Amis de l’orgue élaboreront le véritable programme de cet Intermezzo en associant quelques unes de ces œuvres et en tissant entre elles des rapport nouveaux, des confrontations, des rapprochements, des réactions inattendues.
Le samedi 21 janvier, la veille, aura eu lieu l’assemblée générale des Amis de l’orgue : le bilan de l’année 2016 est particulièrement brillant. Avec les habituelles manifestations (Intermezzi, Jeux d’orgue de juin et Double Jeu ! de septembre…), l’association présidée par Frédéric Brun a accueilli de nombreux visiteurs qui ont pu découvrir le fonctionnement et les richesses de l’orgue de collégiale durant les Journées du patrimoine, le Jour de l’orgue en mai -mais aussi au cours de visites organisées au profit des jeunes écoliers. Deux concerts spirituels ont aussi marqué la saison passée, dans le cadre du 5e centenaire du calvaire des Récollets : pour les Rameaux, Jean-Luc Thellin donnait l’impressionnant « Chemin de la Croix » de Marcel Dupré avant que, lors du colloque organisé par la Ville, Jean-Marc Leblanc ne saisisse le public avec les rares « Sept chorals-poèmes » de Charles Tournemire. A n’en pas douter, le programme de la saison 2017, dévoilé lors de l’assemblée générale, proposera de nouvelles belles occasions d’entendre résonner l’orgue de la collégiale sous des doigts inspirés.